jeudi 26 avril 2018

  • Défense à tout prix de l’unité Minkowski qui ne doit pas fermer.

Suite à l'annonce brutale de la fermeture de Minkowski, aux vues de la dégradation grandissante des conditions de soins et de travail dans tous les services, et de l'accélération de restructuration/déstructuration des services nos avons décidé CGT et SUD d'organiser une Assemblé Générale intersyndicale Jeudi 3 mai à 13h45 au self d'Esquirol.

mercredi 25 avril 2018

Parce que les HSM et les Murets sont dans le même GHT et que nous avons donc la même Directrice Générale, Mme Peynègre, les camarades de la CGT des Murets diffusent depuis aujourd'hui un communiqué pour dénoncer la fermeture de l'unité Minkowski et apporter tout leur soutient aux collègues en lutte.


jeudi 19 avril 2018

Syrie

STOP À L’ESCALADE GUERRIÈRE EN SYRIE
mardi, 17 avril 2018
La CGT condamne les frappes militaires exécutées contre la Syrie par la France, les USA et la Grande-Bretagne.

La France, les États-Unis et la Grande-Bretagne, principales puissances militaires de l’OTAN, se sont affranchis des règles internationales. Ils violent l’article 42 de la Charte des Nations Unies qui attribue cette responsabilité au Conseil de Sécurité. Ils piétinent par leur action guerrière l’Organisation des Nations Unies, fondée en 1945 au lendemain de la deuxième guerre mondiale, pour prévenir les conflits et construire un avenir meilleur pour tous les êtres humains. Cette escalade guerrière ne conduit à aucune solution pour la Paix et engendre des monstruosités.
Faut-il rappeler que, depuis plusieurs mois, Trump n’a de cesse de vouloir décrédibiliser l’action de l’ONU ?

Cette surenchère militaire risque d’avoir des conséquences imprévisibles et dramatiques. Une solution politique, sous l’égide de l’ONU, pour éviter un conflit aux conséquences incalculables, voire une conflagration généralisée, s’impose. Œuvrer à la Paix et à une transition démocratique permettra au peuple syrien et à lui seul de décider de ses affaires.

La CGT réclame la mise en œuvre de solutions politiques et diplomatiques basées sur le respect du droit international et la protection des populations civiles. Comme elle l’a exprimé dans son communiqué de presse du 12 avril, la CGT condamnera toujours l’utilisation d’armes chimiques.
Le combat de la CGT pour la Paix est à l’opposé des politiques menées par le gouvernement à l’image du projet de loi « Asile, Immigration » actuellement en discussion qui, s’il était adopté, serait dramatique pour les réfugiés et les migrants.

Montreuil, le 17 avril 2018
La cgt
http://cgt.fr/STOP-A-L-ESCALADE-GUERRIERE-EN-SYRIE.html

La SNCF possède plus de 1250 filiales dans le monde. Elle emploie 150 000 cheminots au statut mais aussi 110 000 salariés de droits privé. Un vrai "Ferroviaire Business" ! Voici le documentaire de la Fédération CGT des Cheminots.

 https://www.facebook.com/CGT.des.Cheminots/videos/1738313116224988/

Manifestation interprofessionnelle à Paris
Pour stopper la régression sociale

19 avril : départ 14h de Montparnasse en direction de Place d'Italie
Montparnasse > Port Royal > Denfert Rochereau > Place d'Italie







mardi 17 avril 2018

Trois recrutements d’infirmier-es étaient finalisés pour l’unité Minkowski (Pôle Paris 11). Lundi 16 Avril 2018, la Directrice des Ressources Humaines nous apprend qu’ils se seraient tous désistés sans donner plus d’explication. Elle projette en conséquence de fermer purement et simplement l’unité Minkowski (soit 17 lits) au motif d’insécurité pour les patients et les agents faute de personnel.

Cette décision, traumatisante, brutale, violente est maltraitante pour les patients et l’ensemble de l’équipe. Elle ne laisse pas le temps de réfléchir à la situation.

http://www.cgthsm.fr/doc/Fermeture-Minkowski-TRACT-PETITION.pdf
 

MARDI 17 AVRIL 2018 17h Parvis de la Gare de Choisy-Le-Roi
JEUDI 19 AVRIL 2018 14h Montparnasse Paris.

http://www.cgthsm.fr/doc/tract-UD-CGT-94-17-AVRIL-2018.pdf


jeudi 12 avril 2018

mardi 10 avril 2018

La CGT des HSM soutient la ZAd de Notre-Dame-des-Landes.

lundi 9 avril 2018

Communiqué - les expulsions ont commencé, la zad appelle à se mobiliser

Conjurée des années durant par le mouvement, une nouvelle tentatives d’expulsions sur la zad de Notre dame des landes a commencé. Dès 3h du matin, l’opération s’est déployée dans toute sa brutalité : interminables files de fourgons bleu marine, chars blindés, lacrymos, premiers blessés et premières arrestations. Les gendarmes ont annoncé que les journalistes étaient strictement interdits "sur tout le dispositif" et leur ont bloqué l’accès au site. Ils ont affirmée que la prise d’images de presse était prohibée et que les médias devraient se contenter de celle fournies par la gendarmerie.

Ces expulsions confirment la prétention du gouvernement à rétablir le droit tout en s’asseyant grossièrement dessus. La préfecture n’a même pas daigné laisser la possibilité aux habitants de la zad d’avoir accès aux bases minimales du droit au logement, en l’occurrence des procédures nominatives et contradictoires en cas de volonté d’expulsion. Les habitants de la plupart des lieux de la zad s’étaient pourtant nommés et identifiés à plusieurs reprises au cours des dernières années.

Le double jeu lamentable de la préfecture s’affiche aujourd’hui dans toute son hypocrisie : l’annonce de la recherche d’une évolution "sereine et apaisée de la situation" tout en envoyant 2500 policiers ici raser des habitats. On nous annonce un tri qui va s’opérer selon des catégories qui sont de pures fictions qui ne répondent un rien d’autre qu’aux besoins du story telling répressif dans lequel le gouvernement s’est enfermé. Il n’y pas ici de radicaux d’un côté et de paysans de l’autre mais un ensemble de façons entremêlées de partager ce territoire. Contrairement à ce qu’affirme Gérard Collomb, personne ne s’est d’ailleurs régularisé individuellement ces dernières semaines au dépend des autres. L’ensemble du mouvement a proposé un cadre de convention collective pour l’ensemble des habitants et projets.

Mais le gouvernement ne pouvait pas simplement admettre que le projet d’aéroport était inutile, il fallait absolument qu’il se venge de ceux qui l’avaient forcé à cet abandon. La terre se meurt, les formes économiques les plus brutales atrophient nos vies, et partout des personnes aspirent à sortir cet état de fait. Elles étaient 30 000 le 10 février à s’engager à soutenir l’avenir de la zad. Mais Le message politique du gouvernement est ce matin très clair : il ne devra être laissé aucune possibilité à des espaces d’expérimentation.

Notre colère est ce matin profonde face au lamentable gâchis que représente la destruction engagée des maisons et espaces de vie que nous avons construits ici. Notre émotion est grande à l’idée que l’expérience collective de la zad soit mise en danger par le déferlement policier. La zad ne disparaîtra pas pour autant. Nous habitons ici, nous sommes enraciné.e. s à ce bocage, nous ne partirons pas. Nous saluons le courage des personnes qui nous ont déjà rejoint.e.s sur le terrain et ont répondu aux appels. En 2012, l’arrogance écrasante de l’Etat a fini par se retourner contre lui. Dans un contexte de montée des grèves, manifestations, occupations dans tout le pays, gageons que l’expulsion de Notre Dame des Landes deviendra un nouveau moteur de révolte qui se diffuse. Cette opération de destruction se retournera contre ses auteurs.

Nous appelons toutes celles et ceux qui peuvent nous rejoindre dès maintenant ou dans les prochains jours à venir sur la zad. Plus de 80 rassemblements sont d’ores et déjà prévus partout en france ce soir, à Nantes et Rennes à 18h entre autres. La réponse face à ces expulsions se trouvera aussi dans la durée. Une manifestation est appelée à Nantes ce samedi et une convergence sur la zad ce week-end.

https://zad.nadir.org/spip.php?article5332


 

vendredi 6 avril 2018

Hospitaliers épuisés,
Fonctionnaires maltraités,
Étudiants sélectionnés,
Cheminots attaqués,
Privés exploités.

Ne soyons plus isolés. Rassemblons nous et battons nous pour changer cette situation et stopper les réformes. (Affiche)